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21 décembre 2007 5 21 /12 /décembre /2007 21:08


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19 décembre 2007 3 19 /12 /décembre /2007 13:34

Vous vous souvenez certainement du CCC, le « Comité Contre les Chats » que le groupuscule humoristique télévisuel Les Nuls avait inventé (un rappel ici , sinon). Bon, sur Néofantaisie on adore les chats donc on est plutôt contre le CCC, du genre : CCCCC, Comité Contre le Comité Contre les Chats. Mais il est tout à fait possible, toutefois, de reprendre l’acronyme initial (si j’ose dire, hi hi) et d’édifier un beaucoup plus consensuel « Comité Contre la Crève ».
 

De quelques catastrophiques dégâts que peuvent entraîner une crève :


repu1.gif





MINISTERE DE TOUT CE QU’IL NE FAUT PAS
Bureau central du bordel administratif des archives
Département des témoignages classés par ordre alphabétique
Service de les affaires sanitaires
Cellule des presbytes équipés de verres à doubles foyers
 
 
Rapport n° 78 451
REF : MINTFP/BCBAA/DTCOA/SAS/CPEVDF-000894-GD/dh-2132  
 
Courrier du Comité Contre la Crève – Déc. 2007
 
Monsieur le Ministre,
 
J’ai l’honneur de vous soumettre, par la présente, le compte rendu détaillé d’une épouvantable expérience onirique survenue dans la nuit du 18 au 19 décembre 2007, suite à l’absorption involontaire d’un virus de crève dans un endroit encore indéterminé.
 
 Le cauchemar se situe dans le contexte d’une rencontre philosophico-gustative prévue le mercredi 19 à 12h23, avec les citoyens XXXX et XXXX, dans le cadre de la commission parlementaire relative aux droits et devoirs des pizzas en métropole urbaine.  A l’occasion d’une permission réglementaire, je me rends donc au lieu dit pour y attendre mes comparses et m’installe confortablement dans la douce chaleur d’une gargote accueillante. Le citoyen XXX arrive enfin, sans trop de retard, je lui serre la pogne, nous nous asseyons à notre aise et commençons à deviser agréablement pour passer le temps qui nous sépare de la venue du troisième larron.  
C’est alors que se produit ce qui ne peut (fort heureusement) n’arriver qu’en songe : je m’aperçois soudain de la présence de ma maman à nos côtés… ! Pris d’une panique incontrôlable, j’hurle à m’en faire péter les bronches déjà endolories par cette petite saloperie de virus. Le camarade XXX tente vainement de me calmer, tandis que maman, imperturbable, contemple la scène avec son air de Droopy. Retrouvant enfin et non sans peine, la faculté d’aboyer quelques mots, je lui demande la raison de sa présence inopportune en ces lieux de haute confidentialité. Celle-ci m’explique avec une affliction maladive minée de bienveillance pathogène, qu’elle s’est subrepticement glissée dans la scène afin d’y contrôler la bonne tenue de mon alimentation. Je tente calmement, lui tapant dessus de tout ce qui me reste de forces avec une chaise, de lui faire entendre raison, en arguant du fait que j’ai très légèrement dépassé le stade de fœtus. Mais la vieille dame reste de caoutchouc et la chaise rebondit. Je m’enfuis à toutes jambes et tente de regagner au plus vite le départ grandes lignes de la gare la plus proche. Le réveil arrive alors, brutal, plein de sueurs glaciales, d’angoisses palpitantes et de symptômes grippaux.
 
J’ose espérer que ce bref exposé pourra servir la juste cause républicaine de l’éradication crèvique.      
 
Dans l’espoir d’avoir pu y apporter une modeste contribution, je vous prie de croire, Monsieur le Ministre, en l’expression de mes plus respectueuses salutations.
 
Alex
Boucherie-Charcuterie-Triperie Néofantaisie
SARL au capital de 12 Euros, Internet-sur-Réseau



 
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19 décembre 2007 3 19 /12 /décembre /2007 09:47

Bon, j'ai viré ce post "gothique" (comme on dit en jeune) d'hier soir.
J'y peux rien, la crève me donne des idées noires...
JE DETESTE AVOIR LA CREVE !
Un nouvel opus dans pas longtemps, j'annule ma participation à la sacro-sainte bouffe avec des grands de ce monde et vous concocte (au chaud) un article EFFRAYANT.
 
A très vite.


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18 décembre 2007 2 18 /12 /décembre /2007 20:58


Moustakus1.jpg

Hello !


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16 décembre 2007 7 16 /12 /décembre /2007 11:03

Bon, c’est bien beau tout ça, mais seulement voilà… Lorsqu’on ne se donne pas la peine d’écrire sur un petit carnet à spirale ses idées d’articles de blog pour pas les oublier… On les oublie !
 
La nature neuronale est ainsi faite, pas de pitié pour les trainards et alzheimeriens précoces, la sélection naturelle effektue zon oeufre purifikatrice, ach !
 
 
Télencéphalisation
C’est une danse
Qui fit de l’homme ce qu’il est.
 
Dansons, rions,
Glissons dans les scissures
Et dans les circonvolutions.
 
 
Théoriz : Soit dit en passant, l’on fera gaffe avec ce terme de « télencéphalisation » qui cause du développement du cortex dans l’évolution pour raconter comment nous les zhumains on est moins idiot que les bestioles ; en gros : plus la structure de la partie la plus « moderne » du cerveau est tassée et ridée, plus l’on est « évolué » et zintelligent.  Pour avoir des notions sérieuses sur l’évolutions et l’espèce humaine, vaut mieux se référer à ce site bien fichu et abordable : http://www.hominides.com/ 
 
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15 décembre 2007 6 15 /12 /décembre /2007 00:58

ArbresPlaine---1.jpg

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13 décembre 2007 4 13 /12 /décembre /2007 22:07

Fa--adeFriche.jpg


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12 décembre 2007 3 12 /12 /décembre /2007 18:14


Aujourd’hui, encore un fond de tiroir. Fichier Midi datant du e-néolithique (époque à laquelle le genre humain découvre l’intérêt de Windows 95 dans le polissage de la pierre), cette archive a nécessité de savantes procédures de rafistolage audiogalactique.

Il s’agit d’une version quelque peu mutante et un brin exotique de l’admirable Confirmation du non moins admirable Charlie Parker.
 
Oyez, si vous ne craignez point d’en oindre vos tympans. 

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9 décembre 2007 7 09 /12 /décembre /2007 23:20

 

En 1966, filmé, avec le son, à une table de restaurant, le réalisateur de cinématographe Jean Renoir s’adresse à Rivette (autre personnalité dans le métier du cinématographe) en alliant gestes et paroles : « si vous empilez ces soucoupes [des cendriers], vous obtenez une tour, et cette tour prouve l'existence de Dieu... Mais au départ vous ne vouliez rien prouver du tout ! » Un peu auparavant il expliquait: « On ne découvre le sens d'un travail que lorsque ce travail est terminé » Et voilà pourquoi il est ici question d’arrêt, il y est foutrement question d’arrêt, et pas seulement pour permettre aux voyageurs de descendre visiter la citation-station « Renoir », mais encore, pour bien ancrer l’idée du point final, qui manque fatalement aux ingénieurs de la tour de Babel. En fait, plutôt, il n’y en a pas qu’un, il y en a autant qu’on veut.
 
Clarifions un peu. Au départ on empile nos cendriers sur la table d’un restaurant, ou bien nos liasses de scenarii, nos kilomètres de pellicule ; ou bien nos formules littéraires sur le papier matheux gourmand : nous nous efforçons, autant que faire se peut, de faire ce que nous pouvons pour constituer quelque choses d’à peu près cohérent qui veuille dire quelque chose. Bouh bouh, pfeuh ! Un boulot, quand même, du tonnerre de Brest, mais faut ce qui faut. Ensuite, avec le temps, la cervelle, les autres, on s’apperçoit qu’on en a dit un peu plus que ce qui était prévu. Et peut être même, qu’après quelques centaines de milliers de tours en cendriers sur beaucoup beaucoup de tables de restaurant (désertés par les gourmets enfumés jusqu’à l’agonie gustative) on pourra se dire : Ah, ah ! Voilà donc ce que j’avais dans l’occiput. Mais ça c’est pour la fin. Entre temps il y a eu un certain nombre de plus petites fins, plus modestes ; des fin utiles. On pourrait dire des buts. On pourrait aussi dire des désirs et s’arrêter vite fait à la station-citation « Deleuze-Guattari » pour s’informer très touristiquement de ce qu’on ne désire jamais seulement quelque chose toute seule comme une conne, mais toujours des agencements de choses. Prenons un exemple : le vélocypède. Je veux un vélocypède. Mais quand j’y pense à ce machin qui me fait baver, je rève de tout ce que je vais pouvoir faire avec : me balader à la campagne, sillonner la ville derrière les autobus avec un masque à gaz très chic (à cause du diésel), déballer l’engin de son emballage (moment intense de bonheur qui passe forcément: trop vite parce qu’on est trop pressé d’ôter tous les machins qui cachent l’objet), descendre les côtes à toute vitesse les cheveux plaqué comme un danseur de tango (là on évite à tout les coups de penser à la montée, quelqu’un qui désire un vélocypède ignore les montées, à plus forte raison un danseur de tango !), lustrer le cadre avec bienveillance et le voir briller sous la lumière d’un néon bleu de garage, etc. Ainsi, sans doutes, il en va de même pour un Jean Renoir agençant soigneusement ses désirs de filmer, surtout que pour faire des films il faut requisitionner tout une légion d’autres quidams avec des cervelles pleines de désirs itou, si bien que se trament et se nouent une quantité faramineuse de désirs en ribambelles d’agencements. Mais dans le cas de qui écrit seul au fond de sa petite chambre éclairée d’une lampe arrachée à la poussière du gernier d’un grand-père qui savait garder-les-choses-utiles-des-fois-que-ça-puisse-servir, il en va de même encore, bien qu’à une échelle plus réduite.
Donc, on a fini des petits, des moyens, et des gros travaux qui nous ont permis de découvrir qu’on avait pas fini de découvrir qu’on peut continuer parce que l’ensemble de ces travaux au moment où on les contemple de haut constituent une édification plutôt cohérente dont on ignorait auparavant la possibilité. C’est l’avènement. Il y a quelques points finals, qui n’ont pu voir le jour qu’après une longue mise en place de petits points. 
 
Tout ça pour dire qu’il faut une bonne dose de conscience de fourmi littéraire pour écrire. On y va doucement, on se fixe d’humbles buts à nous que même si les autres ils trouvent que c’est minable, on les emmerde. 
« On n'écrit pas assez ! »
Gribouiller des centaines de pages pour construire un bouquin c’est tout l’inverse d’une tour de Babel. Primo parce que même Proust n’avait pas assez d’énergie pour écrire une infinité de pages, secondo parce qu’on écrit pour communiquer des choses et pas pour énerver Dieu.
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7 décembre 2007 5 07 /12 /décembre /2007 21:38

Garage3.jpg

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